jbtahiti a dit : La Rolls démarre bien avec un match tenu par Duncan et conclu par Parker. En face c'était léger mais c'était à l'extérieur pour le premier match de la saison. On prend !
Match carrément conclu par TD tu veux dire, il a mis 9pts dans le crunch time, notamment 7 consécutifs pour recoller au score et repasser devant, sans compter les rbds.
Il est bien affûté, comme pendant la présaison
TP aussi.
Mention spéciale à Leonard qui a bouffé du frelon dans le 3ème avec ses steals. Certaines previews lui ont promis une brillante saison, pourquoi pas.
En revanche le reste, c'est quand même pas encore ça, en particulier la second unit, qui a pas vraiment rassuré. Patrick Mills aux fraises, Slipper emprunté, comme Jax, Mister extra pass Boris, qui continue de chercher le coéquipier le mieux démarqué, même seul sous le cercle...
Ce soir ce sera une autre paire de manche contre les ex-puceaux
sans le 3pts salvateur de TP à 40" de la fin et une défense de fer5(la seule fois du match...) sur la derniére possession de NOH
on se retrouvait dans le pâte.
La Rolls démarre bien avec un match tenu par Duncan et conclu par Parker. En face c'était léger mais c'était à l'extérieur pour le premier match de la saison. On prend !
New Orleans – San Antonio : Tim Duncan domine Anthony Davis
Le 31 octobre 1997, Tim Duncan commence sa carrière en NBA contre Cleveland. Anthony Davis a alors un peu plus de 4 ans.
15 ans plus tard jour pour jour, Davis, numéro 1 de la draft lui aussi, débute sa carrière contre Duncan.
Le duel entre les deux joueurs a tenu ses promesses. Davis a réussi son match, Duncan ne l’a pas manqué non plus et les deux intérieurs se sont livrés à un joli mano-à-mano en fin de match. Mais plus solides en fin de match, les Spurs de Tony Parker (23 pts, 6 pds) s’imposent (95-99) face à des Hornets, encore jeunes, mais très prometteurs.
Des Hornets offensifs
Les deux équipes sont privés de leur arrière pour cause de blessure, c’est le dos pour Manu Ginobili, le genou pour Eric Gordon. C’est Boris Diaw qui s’occupe de Davis, ce dernier en profite pour réussir ses deux premiers shoots en carrière à mi-distance.
Très jeunes et très enthousiastes, les Hornets commettent néanmoins quelques petites erreurs : ils oublient de bloquer le rebond défensif, laissent des joueurs jouer le back-door, ou ne suivent pas assez de près les joueurs en défense. Mais le premier quart temps est très offensif, très rythmé, ça court, c’est agréable et les Hornets sont devant (31-28).
Le jeu des Hornets est simple, cela limite donc les balles perdues. La preuve en est Greivis Vasquez, qui distribue 9 passes décisives (13 au total, record en carrière) avant de perdre son premier ballon. Des combinaisons simples et peu de ballons perdus et voilà les Hornets toujours en tête à la mi-temps (50-43).
Duncan à l’ancienne
Une situation qui n’a pas dû plaire à Gregg Popovich puisque les Spurs reviennent des vestiaires avec de meilleures intentions. Ils sont plus forts, plus motivés, meilleurs en défense et avec un run impressionnant, il passent devant (64-55).
Mais les Hornets sont vaillants et ils reviennent. Notamment sous l’impulsion d’un Al-Farouq Aminu très actif. Machine à dunk et à contre, le Nigérian est partout et son impact physique est impressionnant et pas de trop, quand on voit qu’Austin Rivers ou Ryan Anderson ont cherché leur adresse durant tout le match (4/19 à eux deux).
C’est alors que Duncan commence à enquiller les paniers et tout doucement, comme d’habitude avec lui, il domine le jeu et la ligne de statistique (24 pts, 11 rebonds et 3 contres). Davis a réussi à répondre avec 21 pts et 7 rbds, mais Tony Parker et Kawhi Leonard ont été très bons en seconde mi-temps pour aider Duncan. Davis lui a manqué de soutien.
Mais les Hornets ont montré de belles choses, notamment de l’envie, un jeu attractif à défaut d’être toujours joli ou bien léché comme celui des Spurs et une attitude de jeunes loups prêts à jouer les poils à gratter. Les Spurs, en vieille équipe pleine d’expérience, ne sont pas tombés dans le panneau. On notera que Nando De Colo n’a pas foulé le parquet